• Dans une vidéo d'une trentaine de secondes, le roi exprime ses regrets quant à sa conduite, pour la première fois en 37 ans de règne.

    Une blouse blanche ouvre la porte d'une chambre, deux béquilles apparaissent, puis Juan Carlos passe la tête. «Majesté, comment allez-vous?», lui demande le journaliste dans le couloir de l'hôpital. «Beaucoup mieux», répond le roi, avant de prononcer la phrase que les médias espagnols, depuis, passent en boucle: «Je suis vraiment désolé, j'ai commis une erreur et cela ne se reproduira pas.» Le visage est sérieux, timide presque. Les yeux cherchent les chaussures. Pour un peu, on croirait voir un enfant pris les doigts dans le pot de confiture.

    Le souverain s'est donc excusé publiquement, pour la première fois en trente-sept ans de règne. Son forfait? Être parti, sans prévenir personne, au Botswana pour y chasser l'éléphant. Être tombé lors de cette traque au pachyderme et s'être fracturé la hanche. Le tout pour quelque 37.000 euros, selon les calculs de la presse espagnole, et au moment précis où le gouvernement retient son souffle: depuis une semaine, Madrid éprouve les plus grandes difficultés à financer sa dette.

     



     

    Ce sont tous ces aspects qui ont choqué les Espagnols: le fait que le roi, chef de l'État et chef des armées, conserve son agenda privé secret; les connotations, plus coloniales qu'écologistes, d'un aussi gros gibier; le choix d'un loisir aussi sportif pour un homme de 74 ans; le prix exorbitant de ces vacances, alors que les Espagnols sont appelés à se serrer le ceinture; le mystère entretenu, enfin, autour du financement de l'exotique safari. Du coup, les regrets du chasseur penaud restent très généraux. «Je me suis trompé» ressemble à «Je vous ai compris»: la formule est suffisamment vague pour que chacun puisse y trouver son compte.

    Les réactions, de fait, sont assez favorables à la couronne. La presse est unanime. ABC, bien sûr, le quotidien ouvertement monarchique, salue à la une «L'humilité d'un roi». El País, de centre gauche, et El Mundo, libéral, trouvent les mêmes mots pour saluer «un geste qui honore» le roi. Les critiques sont à chercher ailleurs, dans les conversations de café ou sur les réseaux sociaux.


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  • L'histoire d'une petite fille de 6 ans, menottée vendredi dans un établissement scolaire de l'État de Géorgie, dans le sud des États-Unis, provoque une vive émotion sur place. La fillette, scolarisée dans une école primaire de la ville de Milledgeville, est entrée dans un tel état de colère qu'elle a été conduite au poste de police, les poignets menottés, «pour sa propre sécurité».

    La scène a choqué l'opinion publique américaine. Les responsables de la Creekside Elementary School de Milledgeville, dans le centre de la Géorgie, ont appelé la police alors qu'ils ne pouvaient plus contenir la fureur de Salecia Johnson. Ils avaient auparavant tenté de joindre ses parents, en vain. La fillette était hors de contrôle: en pleurs, elle aurait déchiré des affiches collées aux murs, mordu une poignée de porte, tenté de briser une vitre en verre et sauté par-dessus un broyeur de papier, selon le rapport de la police. Elle aurait même renversé une étagère, jeté des livres et des jouets, blessant légèrement le directeur de l'école à la jambe.

    À l'arrivée des policiers, l'enfant, qui ne pouvait être calmée et qui avait tenté de fuir, a été menottée et conduite au poste. Le chef de la police de Milledgeville a défendu le choix de son unité: «Notre protocole veut que toute personne transportée à notre station dans un véhicule de patrouille doit être attachée dans le dos. Il n'y a pas de discrimination par l'âge sur cette règle», a-t-il déclaré.

    La décision de menotter et d'emmener au poste la fillette a révolté ses parents. La police nie que la fillette ait été mise en cellule et qu'elle ait gardé les menottes aux poignets. Suspendue, elle ne pourra toutefois pas retourner dans cette école avant le mois d'août.


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  • Aperçue dans une voiture dans laquelle le chauffeur brandissait un revolver, Pippa Middleton n'a pas de raisons de s'en faire. L'arme était en fait un jouet.

    Le scandale impliquant Pippa Middletonne devrait pas connaîte de suites judiciaires. Après un week-end de folie à Paris, la soeur de la duchesse de Cambridge avait embarqué à bord d'une Audi décapotable pour prendre l'Eurostar vers Londres. Quelques photographes la suivaient lorsque le conducteur du véhicule a braqué un revolver sur eux. L'un de photographes visés envisageait alors de porter plainte. Mais il n'y a avait heureusement aucun danger pusiqu'il s'agissait en fait d'une fausse arme. Un ami de Pippa Middleton a d'ailleurs précisé que ce n'était qu'un "truc en plastique, un jouet".

    La préfecture de police et la direction de la police judiciaire ont indiqué qu'il n'y aura finalement pas d'enquête à ce sujet. Pippa n'a donc aucune inquiétude à avoir: son casier judiciaire restera vierge.


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  • Pippa, la soeur de Kate Middleton, serait au coeur d'une enquête pour complicité de port d'arme. L'un de ses amis aurait pointé un pistolet sur des paparazzis à Paris ce 15 avril. Pippa Middleton, la belle-soeur du prince William, ferait l'objet d'une enquête pour port d'arme à Paris. En week-end dans la capitale française ce 15 avril, la soeur de Kate Middleton a été photographiée à bord d'une Audi décapotable en companie de 3 hommes, dont l'identité n'est pas connue. Alors qu'ils étaient poursuivis par des journalistes, le conducteur a pointé une arme dans leur direction. Sur les clichés, la jeune femme de 27 ans semble amusée par la situation, comme en témoigne son large sourire.

    L'un des photographes hésite actuellement à porter plainte. La police judiciaire mènerait l'enquête pour établir s'il s'agit d'une vraie arme. Dans ce cas Pippa Middleton pourrait être arrêtée et risquerait jusqu'à 7 ans de prison pour complicité de port d'arme. Si l'arme est fausse, alors la peine pourra s'élevera jusqu'à 2 ans de prison.

    La soeur de la future reine d'Angleterre risquera d'aller en prison ou pas? 

    Cette épreuve reste à suivre....

    Pour voir les clichés, cliquez ici


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  • Le roi d'Espagne se serait blessé pendant une chasse à l'éléphant. Brigitte Bardot a vivement réagit pour lui dire tout le mal qu'elle pesnsait de lui.

    Pendant le voyage privé au Botswana, le roi d'Espagne, Juan Carlos, aurait participé à une chasse à l'éléphant. Au cours de cette partie, il serait tombé, se fracturant la hanche à trois endroits. A son retour à Madrid, le monarque de 74 ans a été hospitalisé et sa hanche a été remplacée par une prothèse. 


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